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La nuit. 22h30.
Daniel poussa la porte du bar. Son regard parcourut brièvement la salle. Peu de monde, si ce n'est un jeune couple au fond de la salle installé à une table, un barbu ivre mort endormi sur la sienne, et deux types assis au bar en train de boire des demis.
Le Policier sortit une cigarette, l'alumma rapidement, puis s'installa au bar à côté d'un des deux types. Le barman, un grand roux élancé, tablier immaculé, s'approcha tout en essuyant un verre, et demanda:

- B'soir. Pour monsieur, ce sera ?

- Un diabolo menthe, s'il vous plaît.

Le barman dégaina son verre et se dirigea vers l'extrémité du bar. Le type avec son demi tourna la tête et dévisagea longuement Daniel d'une oeil hagard, comme si il avait affaire à une bête curieuse. Le jeune homme lui sourit jovialement. Il n'appréciait l'alcool que s'il s'agissait de bonnes bouteilles et de bonnes cuvées, autrement dit qu'en de rares occasions de fêtes ou de repas spéciaux. Pour lui, un soda était bien meilleur qu'un verre de bière, ce que son voisin ne comprenait probablement pas. L'acool tuait lentement. Lui n'était peut-être pas pressé. Le diabolo arriva, il le régla rapidement, puis le barman alla s'installer à une chaise pour déplier son journal. la pièce était calme, et appremment, la ville aussi. Du moins en apprence: pas un bruit dans la rue, le silence complet.
Daniel but une gorgée , puis s'adressa à son voisin:

- Bonsoir monsieur.

- B'soir, répondit l'autre à la va-vite.

- Vous êtes au courant pour les disparitions de ces derniers temps ? C'est assez effrayant, vous ne trouvez pas ?

Le type se retourna vers lui, et ouvrit de grands yeux:

- Ouais. Y'en a qu'y disent que y'a un tueur en série dans le coin. Y'en a meme qu'y disent qu'il vit dans l'école. Vous savez, tous ces trucs bizarres qu'y s'y passent... Moi ça m'fout les chocottes mon vieux, j'vous l' dit.

Daniel sourit, intéressé:

- Oui, je suis au courant, mentit-il. Simplement, je ne connaît pas avec exactitudes les rumeurs. Vous pouvez m'éclairer ?

- Pour sur ! Mon frangin m'a dit qu'le directeur c'est le tueur. Et qu'y s'sert des enfents pour masquer ses faits.

Un silence s'installa. Daniel fronça les sourcils.

- ... Et ?

- Et ben rien. C'est tout c'que j'sais. Ch'uis pas journaliste, 'savez.

- Bien évidemment, répondit Daniel, en souriant.

Il se tourna vers son verre, laissant le type se tourner vers le sien.

* Un tueur dans l'école, donc. Et des faits bizarres rapportés par les habitants. Les ruymeurs dont m'a parlé mon contact étaient donc réelles. *

Il tourna son regard vers la porte. Peut-être que la prochaine personne qui entrerait lui fournirait des informations supplémentaires...

Il était vingt-deux heures...
Elyn, lisait un livre, intitulé "Le maître des mensonges" de Graham Masterton. Un écrivain contemporain reconnu pour ses livres d'horreur.
Ce livre parlait d'une série de meurtre particulièrement atroces dans San Fransisco, c'est un seul est même meurtrier qui semble avoir commis ces actes horrible, tout cela dans un but précis et inconnu. Tous ces rituels ne permettent pourtant pas d'interpréter de réel et concrètes piste. Le personne principale, flic, dois se tourner vers des religions spirituels. C'est après plusieurs jours d'enquêtes qu'une main apparaît dans la paume de sa main pour lui susurrer des indices, secrets, des menaces mais surtout des mensonges.
Prise dans sa lecture, elle s'endormit en lisant, de fatigue.
C'est le livre sur le visage qu'elle s'endormit allongée sur son lit en pyjama. Son esprit volatile se remémora sa lecture et l'histoire donc du livre. Elle s'inventait une suite bien qu'elle ai déjà lut une bonne partie du livre. Elle possédait toute la collection de cet auteur, c'était pour ainsi dire, son préféré.
Minuit pile arriva. Puis un heure, puis deux heures. El' ouvra les yeux, posa pieds au sol et s'étira doucement.

"Quelle bonne nuit j'ai passée !"

Puis, comme si il faisait jour, elle se leva et se dirigeas vers sa commode.. Mais s'arrêta brusquement et fit marche arrière, elle regarda son portable.

02h08min

Elle vit l'heure et sourit brièvement. pas question qu'elle se lève maintenant !
Sans bruit. Elyn se recoucha dans son lit, attrapa les couettes qu'elle posa sur elle et se retourna pour s'endormir. Elle s'embarqua dans de doux rêves. Dehors l'air était plutôt froid et la lune n'était pas plaine, bientôt peut être.
Quelques nuages voyageurs nocturnes vagabondaient dans le ciel d'encre tapissés d'une voûte étoilée peut présente. Elyn Váwien Niothiel, gérante de Epsylon dormait le plus paisiblement du monde même si enfouit dans sa mémoire, son esprit s'activait plus que jamais pour répertorier tout ce qu'elle avait fait et devait faire les trois prochains jours. Les heures défilaient sans se soucier de ce qu'il se passait dehors, dedans, n'importe où, elle voulait une chose. Dormir.
Quand, pour briser toute cette belles image d'une femme entrain de dormir, un réveil des plus assourdissant sonna tel une cymbale a ses oreilles. En sursaut elle se leva et pris son réveil avant de tenter vainement de l'éteindre avant de le jeter sur un mur. Dans un grand bruit le réveil s'éteignit. Le silence reposa dans la chambre. Il était un peu près onze heure trente. Avant de partir, une touche de parfum et ça y est.

Envoyant voir ailleurs ses couettes, elle mit ses pieds sur le sol et se tût. La demoiselle soupira longuement. Se plaça devant son armoire et l'ouvrit en silence. Elle enfila une jupe courte noir,belle et un débardeur noir avec de petites chaussures, bien sur, elle laissa son cache œil dans sa chambre.. Sans faire de bruit, elle sortie. D'abord de la chambre puis du couloirs, du bâtiment, et enfin due la zone scolaire pour se retrouver dehors. Elle mis un pieds devant l'autre et trottina doucement dans les alentours.
Tout le reste de l'après midi, elle ne mangea pas et se promena dans les rues, les villes.
Une fois la nuit bien débutée, elle décida de faire une pause, au café du coin. Maintenant il faisait froid, un frisson la parcouru brièvement. Elle entra dans le café et souffla dans ses mains pour se réchauffer. Une odeur douce et légère emprunta la pièce, le parfum de Elyn.

¤Les nuits sont froides en fin de compte...¤

D'un œil expert, elle jugea les tables. LA seule table qui lui inspirait le minimum de confiance était celle d'un jeune humain. Un couple Vampires rôdait au fond de la salle. Dans un signe indicatif, elle les salua. Le couple sembla comprendre et en sourit.
Elle s'asseye et fixas rapidement l'humain. Le serveur s'approcha demandant ce qu'elle voulait.

"Vous désirez Mademoiselle ?"

"Un verre d'eau, s'il vous plait."

Daniel jeta un oeil vers la porte d'entrée. Une splendide créature vêtue de noir se tenait devant l'âtre, au regard d'un turquoise presque mystique. Elle s'approcha du bar, et, à la grande surprise du jeune homme, commanda un verre d'eau. Son parfum parvint aux narines du jeune homme qui plana l'espace d'un instant ( XD ).

* Gratuit, non alcoolisé, et pas sucré. C'est encore plus avantageux que le diabolo. Je n'y avais pas pensé. Mais de toute façon il va falloir qu'elle consomme si elle veut rester à cette table.*

Le policier but une autre gorgée de sa précieuse boisson, puis se tourna vers la jeune femme.

- Bonsoir, mademoiselle, lança-t-il d'un ton calme.

Elle devait avoir à peu de chose près le même âge que lui - du moins en apparence.

* Pourrait-elle m'expliquer d'autres rumeurs circulant sur l'école ? Le type m'a intrigué avec son histoire. *

Il appela le barman:

- Un diabolo pour la demoiselle, en plus de son verre. C'est pour moi.

Il se tourna vers elle et lui afficha un charmant sourire. L barman apporta les deux verres, Daniel paya, puis l'autre retourna dans son bar à lire son journal.

* C'est tout de même étrange qu'il se mette à lire un quotidien aussi tard dans la journée... Enfin... *

- Quel est votre nom ? s'enquit-il auprès de la jeune femme.

Daniel observa brièvement les jambes de la jeune femme, puis détourna son regard aussi furtivement qu'il l'avait posé. Il l'observa un instant, consommant un peu de diabolo, puis répondit docilement à la question:

- Daniel. Je suis de passage en ville.

Elle disait s'appeler Elyn. Un nom étrange, et assez rare. Envoûtant aussi, à l'instar de son regard turquoise. Il boserva à nouveau la salle , qui ne s'était toujours pas vidée de ses quelques occupants. L'endroit devait être souvent calme, la nuit, ce qui devait certainement ravir les voisins. Dehors, la nuit était sombre, et probablement froide.
Le Lieutenant soupira un instant, joua avec son verre à moitié plein, puis écrasa sa cigarette et croisa les bras.

* " Jeune homme "... On dirait qu'elle me prend pour un gamin. Elle n'est pas tant plus agée que moi, pourtant. *

- Ravi de vous rencontrer, Elyn.

Il désigna le type qui commençait à s'endormir au bar , le verre encore en main, puis reprit la parole:

- Ce monsieur m'a parlé de certaines rumeurs courant sur l'école. Comme je ne suis pas d'ici, ça m'intrigue un peu. Est-ce que par hasard vous pourriez m'en dire plus ?

* Une si jolie femme n'est paut-être pas d'ici , après tout. C'est peut-être une miss régionale en tournée... *

Il lui sourit, portant une fois de plus son verre à sa bouche.

- Daniel. Je suis de passage en ville.

Une question lui brûla les lèvres, mais elle s'en tût bien évidemment. Pourquoi voulait-il en savoir plus sur l'école ? Daniel, enfin un prénom commun, depuis le temps, qu'elle trouvait long soit dit en passant, de moins en moins de personnes portait des prénoms normaux.
Les pensées du jeune homme lui valut un sourire amusée. Bah oui ! pour elle beaucoup paraissait jeune. Mais quand ont a vécue des siècles et des siècles, une personne entre vingt et vingt-cinq ans était jeune. Bien que cela ne soit pas une critique, elle fit:

"Loin de moi l'idée de vous prendre pour un enfant, pour moi, la jeunesse dure plus longtemps que certaines personnes ne peuvent le concevoir."

- Ravi de vous rencontrer, Elyn.

"De même Daniel."

Le vieil ivrogne méritait une correction des plus comiques, cependant pour éviter le mouvement de folie, elle n'en fit rien bien que cela lui démangeait les pensées.

- Ce monsieur m'a parlé de certaines rumeurs courant sur l'école. Comme je ne suis pas d'ici, ça m'intrigue un peu. Est-ce que par hasard vous pourriez m'en dire plus ?

"Oui, j'en connais bien plus sur cette école que cet homme, le hasard fait bien les choses. Les rumeurs ne restent que des rumeurs, c'est comme une maladie, elle se propage. Pourquoi devrais-je vous en parlez ? Mais puisque c'est vous. Posez des questions car sinon nous n'avons pas finit."

En même temps, en tant que gérante du groupe des Autres, propriétaire de l'école en elle même et enfin Mage de sang. Que voulez vous qu'elle se saches pas sur eux. Hein ?

¤Ces humains, toujours curieux, mais lui, vaut-il la peine d'en apprendre sur nous.¤

Daniel laissa peser un instant le silence. Quelque chose clochait. Il n'avait jamais dit à la jeune femme qu'il pensait qu'elle le prenait pour un gamin...

* Comment a-t-elle pu savoir que j'ai song à ça ? Mon expression faciale, peut-être ? Mon attitude ? Serait-ce l'une de ces agents des Renseignements Généraux entraînés à lire sur l'attitude des gens ? Stupéfiant. Toujours est-il qu'avec elle je n'arriverais à rien de bien concluant , du moins pas autant qu'avec ce type, si je ne lui montre pas mon insigne... Elle dit en savoir bien plus que lui. Serait-elle une résidente ? Un membre de l'équipe éducative ou administrative ? *

Il lacha son verre, fouilla dans son manteau de cuir, et présenta son badge déplié à la jeune femme, de telle sorte que seule elle put le voir. Après quoi il le rangea dans sa poche interne.

- Je suis de la Police. Pour tout vous dire, j'enquête sur les disparitions qui ont eu lieu en ville ces derniers temps. Et disons que ces rumeurs courant sur l'école m'ont mis la puce à l'oreille.

Il lui sourit, terminant son verre d'un trait, puis dit:

- Les agents de la ville sont tous occupés sur d'autres affaires, alors le Quai m'a envoyé ici pour celle-ci, qui s'avère être assez complexe... La Justice est très affairée, vous comprenez.

Il marqua un temps, plongeant son regard bleu acier dans celui, turquoise, de son interlocutrice, avant de poursuivre:

- Vous dites en savoir plus que ce monsieur. Pouvez-vous me dire pourquoi ? Ah, et puis si vous pouviez me donner le nom de l'établissement, ce serait un bon début.

* Ce n'est pas une miss, apparemment.*

Daniel fronça les sourcils, et intériorisa tous les événements qui se déroulaient subitement sous ses yeux. Au moment où il avait montré sa plaque, le type presque endormi s'était réveillé, bizarrement assez frais, et de toute évidence fou à lier. Ou ivre.
Dix minutes plus tôt, il était totalement sain d'esprit. Par conséquent, il ne pouvait être qu'ivre.
La jeune femme s'était placée derrière lui, comme apeurée.

* Ma source n'est pas fiable ? Je reconnais qu'il est ivre, mais... Pourquoi a-t-elle besoin de justifier que je ne puisse pas m'appuyer sur les paroles de ce type ? *

Il fronça les sourcils, puis alla empoigner le soulard, l'entraînant vers la sortie. Il l'accompagna dehors, lui murmura quelques mots:

- Police criminelle. Vous avez de la chance que je sois occupé, sinon je vous aurais placé en cellule de dégrisement. décampez que qu je ne vous revoie plus de la soirée dans le coin.

Le type bablutia quelques mots insensés, puis disparut dans la nuit. Daniel retourna dans le bar, puis invita la jeune femme à se rasseoir. Lui poursuivit son interrogatoire:

- Peu importe, les rumeurs existent vraiment, et mon job est de vérifier qu'elles sont vraies. A présent que tout est calme, vous voulez bien répondre à mes interrogations je vous prie ?

Daniel sourit à la jeune femme, émit un léger hoquet de rire, tout en allumant une cigarette, puis s'accouda à la table et la regarda. Après un moment de silence au cours duquel il comprit qu'elle n'était pas une femme influençable, il prit la parole:

- Je réitère mes premières questions: en quoi pensez-vous en savoir plus que le monsieur qui était là il ya quelques minutes ? Et quel est le nom de l'établissement ?

Pause. la cigarette menaçait de s'éteindre. D'un geste patient, le jeune homme la ralluma, puis poursuivit:

- Plus important encore, qu'est-ce qui vous fait croire que mon enquête me conduira à ma perte ? Et mes intentions... Elles ne sont que de servir efficacement la justice en laquelle je crois, c'est pourquoi cette dernière remarque m'étonne de votre part. Se passe-t-il vraiment quelque chose qui risque de me perdre dans cette école ?

* Je ne fais que reprendre ses propos. Elle aura peut-être dit ça dans l'espoir de m'effrayer ou pour se donner un genre, mais si jamai il s'agit d'une réelle menace implicite ou explicite, ça peut me mener un peu plus loin. Avec cette femme en tête de liste.*

Il l'observa, cigarette entre les dents, sourire aux lèvres, et attendit patiemment qu'elle daigne répondre à ses questions.

* Toujours est-il que me répondre a l'air de l'ennuyer. Intriguant. *

* Embrume... C'est bien l'un des rares établissement dépourvu de nom de grands d'antan... *

Il l'observa d'un oeil attentif vider son verre, et l'écouta consciencieusement évoquer " les Autres " et de " placer ce monde sous les barreaux ".

* Les Autres ? *

Elle lui déposa un baiser sur la joue, lui parlant de restaurant et de joli minois. Elle le mit même en garde contre les ombres de la nuit.

* Elle se fiche de moi ? *

Puis elle se leva dans un mouvement gracieux, et se dirigea vers la sortie. Daniel fronça les sourcils, serra sa cigarette entre les dents. la propriétaire de l'école, qui venait de lui annoncer quelques mots insensés allait le quitter sans crier gare. Il se leva, pestant, puis jeta une pièce de pourboire au barman qui le remercia gaiement. Le jeune homme réajusta son manteau de cuir, attrapa le bras de la jeune femme et la stoppa dans son mouvement. Sans la lacher, il lui annnonça:

- Si c'est une blague, elle est de mauvais goût. Je n'en ai pas fini avec vous. Si vous êtes si pressée, je vous y accompagne. C'est moi ui invite, si ça ne vous dérange pas.

Il sourit, un sourire mêlé d'ironie et d'hypocrisie. Il n'avait pas fini de discuter avec elle et si elle était le directeur, l'histoire de l'ivrogne pouvait le conduire directement à elle. Tout était encore discutable, étant donné qu'il avait ét probablement ivre mort au moment où il lui avait donné les informations, cependant le Policier savait qu'aucune piste ne devait être négligée, tel qu'on le lui avait enseigné à l'école de Police.
Les êtres les plus brillants et les plus beaux se montraient parfois ignobles au fin fond de leur âme. Jean Giono l'avait démontré dans un de ses meilleurs bouquins : Un roi sans divertissement, dans lequel le Gendarme qui avait capturé le tueur se voyait devenir peu à peu comme ce dernier au fur et à mesure des étapes de sa vie.
Par conséquent, une femme aussi belle que futée pouvait très facilement se retrouver en première place sur la liste des suspects.

* Cependant, une femme seule pour enlever des personnes... Je n'y crois pas. *

Le lieutenant laissa la jeune femme se débattre et se détacher de lui, puis l'écouta .

* " ne faites plus jamais ça " ? Si cela me permet de traquer l'enleveur je recommancerais autant de fois qu'il faudra. Si elle ne connaî pas d'homme têtu... *

Il fit quelques pas en avant, après l'avoir menacé de l'étonner, sans qu'il se soit passé vraiment grand chose. A moins qu'elle ne décide de le faire dans le fameux restaurant. Il jeta sa clope, en alluma une autre, puis, les main dans les poches de son long manteau, il la rejoignit en quelques pas.

- Allons-y.

* Parler de l'école est appremment quelque chose de gênant, et elle le laisse paraître ouvertement. Que dois-je en conclure, bon sang ? *

Il fronça les sourcils, esquissau n signe de la tête vers la nuit, et demanda:

- Je ne suis pas du coin coin, je vous rappelle. Je vous suis. Pourquoi ne pas aller par exemple à la cafétéria de l'école ?


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